L'argenterie liturgique de l’église de Sainte-Famille : l'orfèvrerie au cœur de l'île

  • Rapproché de la lunule de l'ostensoir de Sainte-Famille

    Rapproché de la lunule de l'ostensoir de Sainte-Famille

  • Plateau d’argent, église de Sainte-Famille (François Ranvoyzé, entre la deuxième moitié du XVIIIe et la première moitié du XIXe siècle)

    Plateau d’argent, église de Sainte-Famille (François Ranvoyzé, entre la deuxième moitié du XVIIIe et la première moitié du XIXe siècle)

  • Rapproché du plateau d’argent de François Ranvoyzé

    Rapproché du plateau d’argent de François Ranvoyzé

  • Plateau d’argent, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

    Plateau d’argent, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

  • Aiguière d’argent, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

    Aiguière d’argent, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

  • Burettes d’argent, église de Sainte-Famille (Joseph Sasseville, première moitié du XIXe siècle)

    Burettes d’argent, église de Sainte-Famille (Joseph Sasseville, première moitié du XIXe siècle)

  • Vue rapprochée du V d’une burette de Sainte-Famille

    Vue rapprochée du V d’une burette de Sainte-Famille

  • Vue rapprochée du A d’une burette de Sainte-Famille

    Vue rapprochée du A d’une burette de Sainte-Famille

  • Calice d’argent avec son plateau, église de Sainte-Famille (Laurent Amiot, entre 1787 et 1839)

    Calice d’argent avec son plateau, église de Sainte-Famille (Laurent Amiot, entre 1787 et 1839)

  • Vue rapprochée du nœud du calice de Pierre Loir

    Vue rapprochée du nœud du calice de Pierre Loir

  • Statue de sainte Anne normalement installée sur la façade de l’église, église de Sainte-Famille

    Statue de sainte Anne normalement installée sur la façade de l’église, église de Sainte-Famille

  • Rapproché de la lunule de l'ostensoir de Sainte-Famille

    Rapproché de la lunule de l'ostensoir de Sainte-Famille

  • Plateau d’argent, église de Sainte-Famille (François Ranvoyzé, entre la deuxième moitié du XVIIIe et la première moitié du XIXe siècle)

    Plateau d’argent, église de Sainte-Famille (François Ranvoyzé, entre la deuxième moitié du XVIIIe et la première moitié du XIXe siècle)

  • Rapproché du plateau d’argent de François Ranvoyzé

    Rapproché du plateau d’argent de François Ranvoyzé

  • Plateau d’argent, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

    Plateau d’argent, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

  • Aiguière d’argent, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

    Aiguière d’argent, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

  • Burettes d’argent, église de Sainte-Famille (Joseph Sasseville, première moitié du XIXe siècle)

    Burettes d’argent, église de Sainte-Famille (Joseph Sasseville, première moitié du XIXe siècle)

  • Vue rapprochée du V d’une burette de Sainte-Famille

    Vue rapprochée du V d’une burette de Sainte-Famille

  • Vue rapprochée du A d’une burette de Sainte-Famille

    Vue rapprochée du A d’une burette de Sainte-Famille

  • Calice d’argent avec son plateau, église de Sainte-Famille (Laurent Amiot, entre 1787 et 1839)

    Calice d’argent avec son plateau, église de Sainte-Famille (Laurent Amiot, entre 1787 et 1839)

  • Vue rapprochée du nœud du calice de Pierre Loir

    Vue rapprochée du nœud du calice de Pierre Loir

  • Statue de sainte Anne normalement installée sur la façade de l’église, église de Sainte-Famille

    Statue de sainte Anne normalement installée sur la façade de l’église, église de Sainte-Famille

L’orfèvrerie est une pratique très ancienne qui consiste à travailler les métaux précieux dans le but de confectionner des objets d’ornements. Ces orfèvreries sont prisées par toutes les sociétés de toutes les civilisations de toutes les époques. Les Églises chrétiennes n’échappent pas à cette règle et commencent à utiliser du matériel fabriqué en or, en argent, en cuivre, en étain et en d'autres métaux dès le début du christianisme. La religion catholique adopte l’utilisation de l’orfèvrerie et emploie de nombreux orfèvres qui fabriquent l’essentiel des ustensiles utilisés lors des messes. On dit de cet équipement qu’il est liturgique, c’est-à-dire relatif au culte public. 

Comme la majorité des églises de son époque, l’église de Sainte-Famille, sur l’île d’Orléans, possède elle-aussi ses orfèvreries. Ces dernières ont cependant une petite spécificité : elles sont presque toutes en argent. Cette particularité évoque une continuité dans le style des orfèvres qui ont fabriqué les pièces liturgiques qui se sont retrouvées, d’une façon ou d’une autre, dans l’église de Sainte-Famille.

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Les aiguières et l’ampoule

Dès le début du christianisme, l’eau revêt une symbolique très forte. Utilisé par les clercs catholiques pour se laver lors de certaines occasions religieuses, l’or bleu est conservé dans divers vases. L’aquamanile, aujourd’hui connu sous le nom d’aiguière, est l’un de ces récipients. Après avoir conféré les huiles saintes ou après le rituel du lavement des pieds, l’aiguière est utilisée par le prêtre pour se laver les mains. Celle de Sainte-Famille a la particularité d’avoir une ornementation presque inexistante. L’artiste ayant fabriqué cet objet n’est pas connu. 

Il y a trois sortes d’huiles saintes dans le catholicisme. Parmi elles, on retrouve le Saint Chrême. Généralement d’origine végétale, il est utilisé à de nombreux événements. En effet, le Saint Chrême est employé lors de certains sacrements, lors de messes importantes, ou lors de consécrations diverses. Cet onguent se retrouve dans une ampoule, un petit récipient marqué des lettres  «S.C.». Celle qu’on retrouve à Sainte-Famille est d’une grande simplicité et ne se compose que d’un petit cylindre d’argent surmonté d’un couvercle, lui-même surmonté d’une petite croix. L’ampoule a été confectionnée par Ignace-François Delezenne, un orfèvre canadien prolifique de la fin du Régime français.

Ampoule d'argent à Saint Chrême, église de Sainte-Famille (Ignace-François Delezenne, XVIIIe siècle) Ampoule d'argent à Saint Chrême, église de Sainte-Famille (Ignace-François Delezenne, XVIIIe siècle)
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Burettes et plateaux

Burettes d’argent, église de Sainte-Famille (Joseph Sasseville, première moitié du XIXe siècle) Burettes d’argent, église de Sainte-Famille (Joseph Sasseville, première moitié du XIXe siècle)

Les burettes viennent en paire et sont de petites cruches avec bec contenant du vin et de l’eau. Si elles sont généralement en verre ou en cristal afin de bien distinguer l’eau du vin, certaines sont d’or ou d’argent et doivent par conséquent être identifiées d’un A, pour aqua, ou d’un V, pour vinum, afin de différencier les deux substances, comme le démontre celle retrouvée à Sainte-Famille. Pie X décide en 1903 d’interdire les burettes en métal parce qu’elles ne permettent pas de différencier aisément les deux liquides. Le couvercle se trouvant au-dessus des burettes permet de prévenir l’entrée de petits insectes. Elles sont utilisées lors de l’offertoire qui consiste à verser le vin dans le calice et à y déposer une goutte afin de symboliser l’union de l’humanité avec le Christ. Cette paire de vases est traditionnellement apportée sur un plateau qui servira aussi au rite du lavabo. Il n’est pas nécessaire de bénir ces objets contrairement au calice et au ciboire. 

Les deux paires de burettes en argent de Sainte-Famille sont fabriquées par Joseph Sasseville, un orfèvre canadien œuvrant particulièrement dans le domaine domestique et de la traite au début du XIXe siècle. 

D’abord effectué par souci d’hygiène, le rite du lavabo a pour but de laver les mains du prêtre avant d’offrir le sacrifice eucharistique. Lors de ce rituel, il prononce généralement les paroles « Je lave mes mains en signe d'innocence pour approcher de ton autel, Seigneur ». Le plateau au contour décoré porte le poinçon de François Ranvoyzé. Apprenti de Delezenne, il domine le marché de l’orfèvrerie religieux dans l’actuel Québec lors des années 1790. L’artiste ayant fabriqué le second plateau, plus sobre, n’est pas connu.  

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L'ostensoir

Également nommés monstrance, les premiers ostensoirs remontent au XIIIe siècle. L’ornement est créé pour exposer le Saint-Sacrement (l’hostie) durant les célébrations de la Fête-Dieu. Au départ fabriquées sous forme de boîtes vitrées, les monstrances prennent ensuite l’apparence de tours de verre, munies d’un pied de métal précieux. Au XVIIe siècle, les ostensoirs commencent à adopter leurs formes contemporaines. Très souvent fabriqué avec du métal de grande valeur et des pierres précieuses, l’ostensoir varie en taille, en forme et en ornementation. Il doit par contre être surmonté d’une croix et être entouré de rayons d’où la forme en soleil populaire en France et au Canada. L’ostensoir est une pièce d’orfèvrerie qui sert à exposer l’hostie destinée à la vénération par les fidèles des traditions catholiques romaines et anglicanes. L’hostie consacrée est déposée dans la lunule, sorte de petite lentille de verre, qui pourra par la suite être installée au centre de l’ostensoir. 

Une fois l’orfèvrerie assemblée, elle est déposée sur l’autel dans l’église ou la chapelle pour que tous puissent admirer le corps du Christ. Lors de la Fête-Dieu, le prêtre, abrité sous un dais, porte l’ostensoir à travers la paroisse sous les cantiques jusqu’à la maison d’un marguillier ou d’un bedeau avant de reprendre la route vers l’église. 

Sur le pied de la monstrance est apposé le poinçon associé à l’artiste Michel Cotton, un orfèvre canadien de la première moitié du XVIIIe siècle. Les sources ne s’accordent pas à situer cette œuvre au début ou à la fin de sa carrière, qui s’étend de 1724 à 1747.

Ostensoir d’argent, église de Sainte-Famille (Michel Cotton, première moitié du XVIIIe siècle) Ostensoir d’argent, église de Sainte-Famille (Michel Cotton, première moitié du XVIIIe siècle)
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Les calices et le ciboire

Ciboire d’argent, église Sainte-Famille (Attribué à Laurent Amiot, entre 1787 et 1839) Ciboire d’argent, église Sainte-Famille (Attribué à Laurent Amiot, entre 1787 et 1839)

Tirant leurs origines dans l’Antiquité, le calice et le ciboire sont des coupes qui permettent aux individus de boire des liquides divers. Le calice est plus répandu chez les Romains, tandis que le ciboire est très utilisé dans le monde grec et en Égypte. Dès le début de la chrétienté, les Églises chrétiennes revendiquent ces objets et en font des ustensiles religieux de grande importance. 

Dans la religion catholique, le calice et le ciboire sont deux éléments cruciales de l’eucharistie. Le calice est utilisé par les fidèles pour boire le vin, devenu le sang du Christ lors de sa consécration par le prêtre. Aujourd’hui, il n’y a généralement que le prêtre qui puisse prendre le sang du Christ. Autrefois, il arrivait que les adeptes boivent tous dans la coupe, mais on préfère parfois l’intinction, qui consiste simplement à tremper l’hostie dans le vin avant la communion. Après le rite, s’il reste des hosties consacrées, elles sont placées dans le ciboire. Ce dernier, ressemblant à une coupe surmontée d’un couvercle, est ensuite placé dans le tabernacle jusqu’à la prochaine communion.   

L’église de Sainte-Famille a, dans ses collections photographiées en 2019 par l’Université Laval, deux calices et un ciboire, tous en argent. Le ciboire est fait de façon relativement simple, avec peu de fioritures, et il est bien poli. C’est une situation similaire du côté de l’un des deux calices, lui aussi fabriqué sans prétention. Tous deux seraient des œuvres de Laurent Amiot, un orfèvre canadien du début du Régime britannique grandement imité par ses congénères du pays. Son style épuré est marqué par une influence parisienne qu’il a acquise lors de son voyage sur le vieux continent entre 1782 et 1787.  L’autre calice, par contre, se démarque par sa beauté et ses détails. Il s’agit du calice de Pierre Loir.

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Le calice de Pierre Loir

Le calice de Pierre Loir est un calice d’argent d’une grande beauté qui s’oppose à la simplicité des décors présents sur la majorité des objets liturgiques en argent qu’on retrouve dans l’église de Sainte-Famille. La coupe est travaillée de façon remarquable à son pied et à son nœud, le reste étant poli. À ces endroits, on retrouve des motifs floraux et végétaux qui répètent une suite. 

Autrefois confondu comme une œuvre de Paul Lambert dit Saint-Paul, l’orfèvre le plus important de la Nouvelle-France, le calice a été confectionné par l’artiste français Pierre Loir entre 1682 et 1683 dans son atelier de Paris. Né en 1628 et décédé en 1700, l’artiste fait partie d’une grande dynastie d’orfèvres et d’artistes peintres. Il approvisionne la Nouvelle-France en objets religieux après la réforme des poinçons de 1680. Actuellement, le Québec conserve trois pièces fabriquées par lui et elles sont toutes inscrites au patrimoine mondial. Le calice de l’église de Saint-Famille fait partie du lot. 

Outre sa grande beauté, le calice de Pierre Loir est remarquable parce qu’il fait partie de la centaine de pièces d’orfèvreries de Paris réalisées avant 1717 et conservées au Québec. Cette collection est admirable, puisqu’elle constitue à elle seule le quart des collections mondiales qui ont échappé aux fontes. À l’époque, il est coutume de fondre les métaux précieux lors de temps troubles, comme durant la Révolution française où la majorité des orfèvreries de Paris disparaissent.

Calice d’argent, église de Sainte-Famille (Pierre Loir, entre 1682 et 1683) Calice d’argent, église de Sainte-Famille (Pierre Loir, entre 1682 et 1683)
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Le reliquaire de sainte Anne

Reliquaire en argent de sainte Anne, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus) Reliquaire en argent de sainte Anne, église de Sainte-Famille (date et artiste inconnus)

Dans le monde chrétien, les reliques sont des objets matériels biologiques ou créés par l’humain ayant appartenu à une personne vénérée. Dans la majorité des cas, il s’agit de croix, d’habits ou de restes d’ossements. Ces objets sont voués à un culte important et sont souvent la cause des pèlerinages chez les catholiques. Les pièces d’orfèvrerie qui accueillent ces reliques se nomment des reliquaires.

L’église de Saint-Famille possède quelques reliquaires, dont un dédié à sainte Anne. Celui-ci est fait d’argent et prend la forme d’un cœur enflammé. Comme expliqué dans l’exposition virtuelle sur les cœurs de dévotion, l’iconographie chrétienne au Québec reprend souvent ce symbole. Le reliquaire de Sainte-Famille est composé d’un creux vitré où est disposé un os de sainte Anne, ainsi qu’une banderole écrite identifiant le personnage religieux. 

Sainte-Famille a quelques liens particuliers avec sainte Anne qui explique la présence de ce reliquaire. En effet, le village insulaire se situe face au lieu de pèlerinage de Sainte-Anne-de-Beaupré, dont le culte est très important. Le jour comme la nuit, on aperçoit les clochers de la basilique de l'autre côté du fleuve Saint-Laurent. De plus, la patronne de la province de Québec assure une protection aux marins. L'île d'Orléans jouit autrefois d'une activité de pêcheries extrêmement importante. Un quai, maintenant abandonné, près de l'église de Sainte-Famille démontre que cette activité de subsistance et économique a une place significative à Sainte-Famille-de-l'île-d'Orléans. Aujourd'hui encore, une statue de sainte Anne trône dans une niche de la façade de l'église qui lui est réservée. 

L’artiste ayant fabriqué le reliquaire n’est pas connu. 

Médiagraphie

Articles de journaux

GOMIS, Roger. (2019, 12 janvier). À quoi servent les objets liturgiques déposés sur la table à l’arrière de l’autel?. La Croix Africa. [En ligne] https://africa.la-croix.com/la-question-du-jour-a-quoi-servent-les-objets-liturgiques-deposes-sur-la-table-a-larriere-de-lautel/. consulté le 13 mai 2021

Bases de données

Base de données photographiques de l’inventaire du Patrimoine mobilier religieux de l’île d’Orléans 

Inventaire du patrimoine mobilier religieux de l'île d'Orléans

Répertoire du patrimoine culturel du Québec

Bibliographie

BOURBEAU, Eudore. Les objets qui servent au culte divin. Éditions de l'Archevêché de Québec, Québec. 118 pages.

Bureau d'accueil touristique de l'île d'Orléans. (2010). Île d'Orléans : Fertile en coup de cœur!. (Collection patrimoine religieux) Éditions CLD de l'île d'Orléans, Québec. 23 pages.

Revues scientifiques

SCHWARTZ, Herbert T. (1961). Les orfèvres de la Nouvelle-France. Vie des Arts (24), p. 39-43. [En ligne] https://www.erudit.org/en/journals/va/1961-n24-va1207434/55182ac.pdf. consulté le 12 mai 2021

TRUDEL, Jean. (1968). Un maître orfèvre du Québec : François Ranvoyzé (1739–1819). Vie des Arts (51), p.62–65. [En ligne] https://www.erudit.org/fr/revues/va/1968-n51-va1201997/58235ac.pdf. consulté le 12 mai 2021

Sites internet

Club des servants de messe. (n.d.). Objets liturgiques. Paroisse Sainte-Marie-du-Lac. [En ligne] https://stemariedulac.maparoisse.info/jeunesse-2/club-des-servants-de-messe/objets-liturgiques/. consulté le 12 mai 2021

Commission diocésaine. (n.d.). Les objets eucharistiques. Diocèse de Toulouse. [En ligne] https://toulouse.catholique.fr/Les-objets-eucharistiques. consulté le 13 mai 2021

Communauté Saint-Martin. (n.d.). Les burettes et l’aiguière. Communauté Saint-Martin. [En ligne] https://www.communautesaintmartin.org/article/burettes-aiguiere/?fbclid=IwAR1APpIMCw_UTg1UuHE1AIRHIeiyQT7XrCv0dFj-3MHLA1vfBm4b_bVu9qM. consulté le 13 mai 2021

DEROME, Robert (n.d.). L'émigration des orfèvres français au Québec et ses conséquences sur l'orfèvrerie québécoise. UQAM. [En ligne] https://rd.uqam.ca/Emigration/index.htm?fbclid=IwAR3f-ZK84Yo0fyJNRfLqPW4XqQgpjyRVwVLognQZSygWhowlzvLqjObChHE. consulté le 11 mai 2021

DEROME, Robert. (n.d.). L'orfèvrerie des ursulines au XVIIe siècle du temps de Marie de l'Incarnation. UQAM. [En ligne] http://rd.uqam.ca/Ursulines/index.html. consulté le 12 mai 2021

DEROME, Robert. (n.d.). Vestiges-reliques de l'ostensoir de Pierre Loir donné en 1681-1682 par Madame de la Basme à Judith Moreau de Brésoles. UQAM. [En ligne] http://rd.uqam.ca/MRHSJ/NavetteCalice.html. consulté le 12 mai 2021

MORISSET, Gérard. (2003). 1950.12.26 : Orfèvre - Cotton, Michel. UQAM. [En ligne] http://rd.uqam.ca/Morisset/1950.12.26.html. consulté le 12 mai 2021

NIBITANGA, Michel. (2018, 10 octobre). Signification du rite de «lavabo» au moment de la prière d’offertoire. Archidiocèse de Bujumbura. [En ligne] http://www.archidiocesedebujumbura.bi/?fr/at245. consulté le 13 mai 2021 

RENAUD, Michelle. (2014, 25 juillet). Fête de sainte Anne, patronne de la province de Québec : 26 juillet. Congrégation Notre-Dame. [En ligne] https://www.cnd-m.org/fr/nouvelles/article.php?id=93. consulté le 13 mai 2021 

Sanctuaire Sainte-Anne-de-Beaupré. (n.d.). Dévotion à sainte Anne dans le monde. Sanctuaire Sainte-Anne. [En ligne] https://sanctuairesainteanne.org/fr/sainte-anne/devotions-a-sainte-anne-dans-le-monde. consulté le 13 mai 2021

 

Crédits

Réalisation de l'exposition: Justine Blondeau et Antoine Girard

Remerciements: Laurier Turgeon, Chantal Poudrette, Nancy Bergeron et Pascal Girard

Photographies: Benoit Vaillancourt

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