L'incendie de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans

  • Photo de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau)

    Photo de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau)

  • Vue du narthex et de la nef de l’église Saint-François en 1938 (Musée de la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec, PH1986-1797).

    Vue du narthex et de la nef de l’église Saint-François en 1938 (Musée de la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec, PH1986-1797).

  • Ruine de l'église en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).

    Ruine de l'église en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).

  • Photo de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).

    Photo de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).

  • Mur latéral vu du cimetière (Photo prise par Guillaume Collin, mai 2021).

    Mur latéral vu du cimetière (Photo prise par Guillaume Collin, mai 2021).

  • Vue intérieure de l'église de Saint-François-de-l’Île-d’Orléans, [Vers 1925], BAnQ Québec, Fonds L'Action catholique, (03Q,P428,S3,SS1,D14,P88)

    Vue intérieure de l'église de Saint-François-de-l’Île-d’Orléans, [Vers 1925], BAnQ Québec, Fonds L'Action catholique, (03Q,P428,S3,SS1,D14,P88)

  • Photo de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau)

    Photo de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau)

  • Vue du narthex et de la nef de l’église Saint-François en 1938 (Musée de la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec, PH1986-1797).

    Vue du narthex et de la nef de l’église Saint-François en 1938 (Musée de la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec, PH1986-1797).

  • Ruine de l'église en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).

    Ruine de l'église en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).

  • Photo de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).

    Photo de l'église de Saint-François-de-l'Île-d'Orléans en feu (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).

  • Mur latéral vu du cimetière (Photo prise par Guillaume Collin, mai 2021).

    Mur latéral vu du cimetière (Photo prise par Guillaume Collin, mai 2021).

  • Vue intérieure de l'église de Saint-François-de-l’Île-d’Orléans, [Vers 1925], BAnQ Québec, Fonds L'Action catholique, (03Q,P428,S3,SS1,D14,P88)

    Vue intérieure de l'église de Saint-François-de-l’Île-d’Orléans, [Vers 1925], BAnQ Québec, Fonds L'Action catholique, (03Q,P428,S3,SS1,D14,P88)

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L’église de Saint-François-de-Sales-de-l’Île-d’Orléans fut construite de 1734 à 1736, elle en remplace une plus ancienne en bois. Son plan est de type récollet, inspiré par la chapelle de la congrégation du même nom à Québec. Il est donc composé d’une nef sans transept, doté à l’arrière d’une abside en hémicycle. La voûte à intérieur est une voûte en berceau. En ce qui concerne l’aspect intérieur avant l’incendie, il est originellement peu orné, et fut l’objet d’un enjolivement progressif jusqu’aux années 1860 environ. Plusieurs artisans ont laissé leur marque, dont les Levasseur, Baillairgé, Berlinguet, Giroux, Leprohon, Parent et Paquet. Les éléments de décor s’apparentent aux styles baroque et classique. En ce qui a trait à la décoration intérieure actuelle, celle-ci est fort différente de ce qu’elle fut avant l’incendie de 1988.

 

Un patrimoine classé
L’église fut classée en 1957 par la Commission des monuments historiques du Québec. Une partie de son mobilier fut classée en 1966, à cause de ses valeurs architecturale, artistique, religieuse et historique certaines. Fort de cette prise d’intérêt pour le bâtiment, la Commission entreprit des travaux de restauration intérieurs et extérieurs au cours des années 1960. L’église est solidifiée et remise en valeur, ce tant pour les fondations, murs, charpente du toit, couverture en bardeau de cèdre, etc. À l'intérieur, des travaux de peinture effectués en 1988 ont permis de rafraîchir le décor. Certaines pièces du mobilier ont également été restaurées.

 

Une église bien documentée
Plusieurs spécialistes du patrimoine bâti se sont intéressés à ce bâtiment historique au cours de son histoire. Dans les années 1920, messieurs Ramsay Traquair et Marius Barbeau, directeur de l’école d’architecture à l’Université McGill pour le premier, et ethnologue-folkloriste pour le second, ont un intérêt envers la petite église. Traquair rédige avec Barbeau un article sur celle-ci en 1926, et des plans intérieurs et extérieurs de l’église ont même été faits. Quelques années plus tard, Gérard Morisset documente les biens mobiliers et immobiliers du lieu de culte. Il participera, conjointement avec ses fils, à la restauration au cours des années 1950.

Façade sud de l’église Saint-François-de-Sales-de-l'Île-d’Orléans avant l’incendie de juin 1988. (Musée de la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec, PH2000-15125) Façade sud de l’église Saint-François-de-Sales-de-l'Île-d’Orléans avant l’incendie de juin 1988. (Musée de la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec, PH2000-15125)
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La nuit fatidique

Carcasse de la voiture après l’incendie. (Capture d’écran YouTube, journal télévisée TVA Nouvelles, et mis en ligne par Dingo Dingo). Carcasse de la voiture après l’incendie. (Capture d’écran YouTube, journal télévisée TVA Nouvelles, et mis en ligne par Dingo Dingo).

Dans la nuit du 1er juin 1988, aux alentours de 3h30, une automobile percute la façade sud de l’église. La collision fait alors exploser le véhicule, et les flammes violentes déclenchent alors un incendie qui embrase la corniche de l’avant-toit. Dans les minutes suivant l’impact, la femme du sacristain, qui est au presbytère cette nuit-là, remarque l’incendie et alerte les pompiers.

La municipalité de Saint-François n’étant pas pourvue d’un service de la protection des incendies, ce sont les pompiers de Saint-Jean et de Sainte-Famille-de-l’Île-d’Orléans qui ont été appelés. Arrivés sur les lieux, leurs premiers efforts sont déployés pour sauver le conducteur de l’automobile. Pendant ce temps, le feu gagne rapidement la structure en bois du toit, affaiblissant rapidement le clocher, qui s’écroula peu de temps après sur son versant droit. Le feu, n’étant à ce moment-là pas contrôlé, se propage vers l’arrière, empêchant toute intervention dans l’église. À ce moment, la chaleur est telle que le gyrophare d’un camion de pompier à proximité fond en partie.

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Plusieurs complications

Voyant la situation se dégrader, les efforts des pompiers se déploient davantage à sauver les bâtiments à proximité de l’église, soit le presbytère, l’ancienne école et une vieille maison à l’arrière. À cause d’un manque d’eau près de l’église, les pompiers réquisitionnent certaines piscines des résidents pour s’approvisionner. Cela n’a pas aidé à maîtriser les flammes, et de plus, la situation se complique au lever du jour. En effet, le vent gagne en puissance, ce qui rend un nombre supérieur de bâtiments vulnérables aux tisons. À l’aube, l’église est perdue, et les efforts portés ne servent désormais qu’à contenir l’incendie. Le travail des pompiers est digne de mention, ceux-ci ayant travaillé dans des conditions difficiles afin de protéger le voisinage immédiat.

Outre les pompiers de Saint-Jean et de Sainte-Famille, ceux de Beauport ont également été appelés. Par contre, un bris mécanique sur leur camion empêcha leur venue immédiate sur les lieux. À la place, ce sont les pompiers de Québec qui les substituent. Trois heures auront été nécessaires afin de contrôler le feu, bien que l’intervention des pompiers ait été encore nécessaire après pour l’éteindre entièrement. Vers 6h30, il ne reste que les murs de pierre, ainsi qu’une partie du toit de la sacristie qui ne s’est pas encore écroulée.

Vue de l’église en feu depuis le village de Saint-François (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau). Vue de l’église en feu depuis le village de Saint-François (Photo gracieuseté de madame Jacqueline Pruneau).
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Les survivants

Reliquaires et chandeliers en bois de l’église d’origine (Photo prise par Pierre Lahoud, mai 2021). Reliquaires et chandeliers en bois de l’église d’origine (Photo prise par Pierre Lahoud, mai 2021).

Peu de temps après le début de l’incendie, des résidants s’affairent à sauver ce qu’ils peuvent de l’église, en passant par la sacristie. Bien vite, la chaleur et la fumée oppressante les contraignent à quitter, mais ils ont tout de même sauvé le contenu du tabernacle, les archives et certains objets de valeur. Ils sont amenés au presbytère.

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Les objets récupérés après le brasier

Malgré les efforts des citoyens sur place, les objets à l'intérieur de l'église n'ont pu être tous récupérés. En effet, dans les jours suivant l'incendie, plusieurs objets ont été récupérés dans les ruines de l'église. Malgré que ces objets aient été endommagés par le feu, il est tout de même possible de les reconnaître, et ce, peu importe qu'ils aient été à l'intérieur ou à l'extérieur de l'église. 

Croix du clocher et du cœur de l’église de Saint-François, endommagées par le feu (Photo prisepar Pierre Lahoud, mai 2021). Croix du clocher et du cœur de l’église de Saint-François, endommagées par le feu (Photo prise par Pierre Lahoud, mai 2021).
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Les conséquences suite à l'incendie

Quelques heures après le sinistre, résidents locaux autant que le grand public se désolent de la perte de ce patrimoine plus que bicentenaire. L’incendie a réduit à néant des années de restauration effectuées sur le bâtiment. Dans les semaines suivant la catastrophe et jusqu’à l’achèvement de l’église, les offices religieux sont temporairement célébrés dans le sous-sol de l’ancienne école. De plus, les opinions quant à la reconstruction de l’église se profilent de plus en plus. Alors que certains veulent une nouvelle église, d’autres désirent conserver ce qui peut encore l’être, soit les murs de pierre.

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Une découverte historique

Graffiti datant de la guerre de Sept Ans (Site internet de la Fabrique de Sainte-Famille-de-l'Île-d'Orléans, section Paroisse Saint-François). Graffiti datant de la guerre de Sept Ans (Site internet de la Fabrique de Sainte-Famille-de-l'Île-d'Orléans, section Paroisse Saint-François).

Lors d’une journée ensoleillée du 29 septembre 1988, une trace archéologique d’importance fut découverte sur un mur intérieur de l’église. Il s’agit d’un graffiti réalisé en 1759 par David Chapman. Artilleur britannique à bord du Neptune, il vient en Nouvelle-France dans le contexte de la guerre de Sept Ans. L’église de Saint-François est alors un hôpital militaire britannique durant l’occupation de l’Île. Chapman, possiblement blessé, s’y retrouve.

Le graffiti, peu visible, fut découvert par un heureux hasard aux alentours de midi. C’est l’angle du soleil de midi qui a permis de le remarquer. Il est enlevé peu de temps après, et le Centre de conservation du Québec le restaure. Lorsque la restauration fut complétée, le graffiti retourne à l’église pour être exposé dans une vitrine.

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La reconstruction de l'église, une source de compromis

Pendant près de trois ans, des réunions sont tenues à Saint-François afin de déterminer le sort des ruines. Seront-elles détruites ou bien préservées ? Le comité d’art sacré de la paroisse désire construire une nouvelle église contemporaine hors des murs, mais en conservant les ruines pour en faire un lieu commémoratif. Certains spécialistes et amants du patrimoine veulent une reconstruction par analogie, c’est-à-dire ramener le style de l’église à une époque donnée. Pour d’autres, se débarrasser de ce qui reste est la décision à prendre.

Au courant du mois de juin 1991, ce après quelques années de discussions, il fut finalement convenu de reconstruire à l’intérieur des murs. C’est la firme d’architectes Marc Bouchard et Associés qui prend alors en charge ce projet. Selon un rapport d'évaluation de la structure des murs, celle-ci serait trop fragilisée pour retenir la toiture, ce qui amène à faire un compromis pour ne pas altérer le style ancien de l’église. Pour réutiliser les murs patrimoniaux (encore classés après l’incendie), une structure en béton doit alors y être intégrée. 

Le projet de reconstruction pu satisfaire les demandes des divers groupes concernés (comité d’art sacré, ministère des Affaires culturelles, la fabrique, l’architecte, la population, etc.). En plus de mettre au jour un graffiti à haute valeur historique, des découvertes archéologiques faites dans les jours suivants l’incendie ont révélé que les murs furent l’objet de transformations au fil des ans.

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Des moyens limités

Le plan final opté par l’architecte Bouchard ne se tient pas uniquement à reconstruire selon l'état archéologique retrouvé. Il inclut également un autre facteur d’importance, soit celui des moyens financiers. En effet, le ministère des Affaires culturelles a attribué un montant de 500 000 $ dans le projet. Les assurances couvrent l'église pour cette même somme. Malgré tout, cette somme est relativement peu élevée pour refaire l’église d’avant le feu.

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L'église actuelle

L’église est une reproduction hypothétique de ce qu'elle aurait pu être à l’origine en 1734. À l’extérieur, le clocher est désormais à un seul lanternon, faute d’argent. La toiture galbée, faite dans la seconde moitié du XIXe siècle, est remplacée par une toiture raide et peu saillante. La reconstruction de la sacristie attenante, érigée en 1815 et 1877, fut aussi abandonnée, principalement par un manque de fonds.

À l’intérieur, la sobriété du décor contraste avec celui d’avant l’incendie. Il n’y a plus cette polychromie de couleurs retrouvée autrefois, la voûte et la corniche sont laissées sur le bois naturel alors que les murs sont tous blancs. Le mobilier simple s’apparente à l’art contemporain, ce qui a fait le plaisir du comité d’art Sacré de Saint-François, désireux de faire un lieu de culte à la mode du temps. Ce mobilier, ajouté de la décoration intérieure, fait l’objet de critiques venant de partisans de la reconstruction par analogie. Ceux-ci veulent un décor plus fidèle à celui qui était avant 1988.

Dans le sanctuaire, le chevet de l’abside est plat et forme un mur derrière lequel se trouve la sacristie. La présence d’un tel mur est prouvée par la découverte de traces archéologiques, faite au commencement des travaux de la voûte. Il fut alors convenu de refaire cet élément architectural, lequel correspond en tous points aux critères du projet de reconstruction par analogie.

Maître autel de l’église Saint-François-de-Sales-de-Île-d’Orléans avant l’incendie de juin 1988 (Musée la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec, PH2000-15122). Choeur de l'église Saint-François aujourd'hui (Photo prise par Benoit Vaillancourt, juillet 2017). 1: Maître autel de l’église Saint-François-de-Sales-de-Île-d’Orléans avant l’incendie de juin 1988 (Musée de la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec, PH2000-15122). 2. Choeur de l'église Saint-François aujourd'hui (Photo prise par Benoit Vaillancourt, juillet 2017).
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Les leçons à tirer

L’incident survenu le 1er juin 1988 a permis de constater que l’église de Saint-François, bien que classée et restaurée, n’était pas à l’abri des catastrophes. Cet évènement aura mis au jour l’absence d’un raccord au réseau d’eau municipal, une des causes principales qui a contribué à la perte de contrôle du brasier. Le fait que Saint-François n’ait pas de caserne de pompiers en 1988 rend la municipalité dépendante des pompiers de Saint-Jean et Saint-Famille. Il en résulta un délai d’intervention qui ne permit pas de maîtriser les flammes à la suite de la déflagration de l’automobile. Aujourd’hui, des mesures de sécurité plus adéquates contre les incendies sont appliquées à Saint-François, soit par la présence de prises d’eau sur la façade de l’église, ou encore par les lances d'incendie dans l’église.  

La voiture qui a percuté la façade ce 1er juin 1988 n’était pas la première. Trois ans auparavant, une voiture fonce également dans la même façade, laquelle s’enfonça de 15 cm. En 1985, le MAC autorise la construction d’un muret protecteur devant l’église, cela pour empêcher qu’un tel incident se reproduise. La fabrique de Saint-François n’avait pas entamé les travaux de construction, possiblement par manque d’argent ou bien parce qu’un tel muret compromettrait la beauté de l’église.

La conservation des murs restants ne fut pas toujours assurée pendant les délibérations entourant sa reconstruction. Certaines personnes préféraient construire en neuf plutôt que les préserver, mais au final, l’attachement à ce patrimoine de 1734 fut plus grand. Finalement, il faut souligner l’apport des nombreux acteurs qui ont fait en sorte que l’église existe toujours. 

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Crédits

Statue de la niche de la façade sud de l’église de Saint-François-de-l’Île-d’Orléans à l’effigie de Saint-Jacques de Compostelle. (Photo prise par Pierre Lahoud, mai 2021). Statue de la niche de la façade sud de l’église de Saint-François-de-l’Île-d’Orléans à l’effigie de Saint-Jacques de Compostelle. (Photo prise par Pierre Lahoud, mai 2021).

Réalisation de l'exposition par:
Guillaume Collin et Andréanne Larose

 

Remerciements spéciaux à:
Laurier Turgeon, directeur du BISHEP à l'Université Laval
Pierre Lahoud, pour ses photographies
Félix Bédard, pour les renseignements sur l'église
Florence Parcoret et Gabrielle Therriaut (Vidéo des entrevues sur l'incendie)

 

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Statue de Saint-François de Sales, anciennement dans l’une des niches de la façade sud. (Photo prise par Pierre Lahoud, mai 2021). Statue de Saint-François de Sales, anciennement dans l’une des niches de la façade sud. (Photo prise par Pierre Lahoud, mai 2021).

BIBLIOGRAPHIE

FABRIQUE DE LA PAROISSE DE SAINTE-FAMILLE-DE-L'ÎLE-D'ORLÉANS. Paroisse de Saint-François. Copyright©2020, [En ligne], « https://www.fabriquestefamilleio.org/project/paroisse-saint-francois/ », (page consultée le 14 mai 2021).

GAUTHIER, Richard. Le devenir de l'art d'église dans les paroisses catholiques du Québec. Québec, Les Presses de l’Université Laval, 2005, 183p. https://www.google.ca/books/edition/Le_devenir_de_l_art_d_%C3%A9glise_dans_les_p/8MgQU-QbAYAC?hl=fr&gbpv=0, consulté le 14 mai 2021.

LATULIPPE, Lucien. « Incendie de l’église Saint-François, île d’Orléans : La construction du muret retardée par manque d’argent ». Le Soleil (Québec), 3 juin 1988, p. A-3. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2889464, consulté le 14 mai 2021.

OUELLET, Gérald. « Les offices religieux transférés au centre communautaire “Le Sillon” ». Le Soleil (Québec), 3 juin 1988, p. A-3. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2889464, consulté le 14 mai 2021.

OUELLET, Gérald. « Les travaux de rénovation venaient d’être complétés ». Le Soleil (Québec), 2 juin 1988, p. A-5. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2889458, consulté le 14 mai 2021.

RÉPERTOIRE DU PATRIMOINE CULTUREL DU QUÉBEC. Église de Saint-François. Copyright©2013, [En ligne], < https://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=92870&type=bien >, (page consultée le 14 mai 2021).

TRUCHON, Michel. « Incendie à Saint-François : “C’est comme le départ d’un être cher” ». Le Soleil (Québec), 2 juin 1988, p. A-4. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2889458, consulté le 14 mai 2021.

TRUCHON, Michel. « La petite église est détruite par l’explosion d’une voiture ». Le Soleil (Québec), 2 juin 1988, p. A-1 et A-2. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2889458, consulté le 14 mai 2021.

 

MÉDIAGRAPHIE

PARCORET, Florence et THERRIAULT, Gabrielle (réalisatrices). L’incendie de l’église Saint-François. Canada, 2017, 39min, coul., numérique.

TEASDALE, Jacques (journaliste). « Ile d’Orléans ». TVA, 1m 34. (1 juin 1988).

Crédits

Exposition: Guillaume Collin et Andréanne Larose

Remerciements: Laurier Turgeon

Photographies : Pierre Lahoud, Benoit Vaillancourt, Jacqueline Pruneau

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